Je voulais écrire cet article pour que mes erreurs puissent servir à d'autres, et je remercie aussi mon autre pour les belles prises de conscience qu'il m'a permis d'aquérir ces derniers jours <3 

1) Les comportement excessifs : 

Quand on se sent blessé par le comportement de la personne qu'on aime, bien souvent on a tendance à le lui faire savoir de façon assez peu respectueuse, ce qui entraine une réaction "en cascade" qui ne profite à aucun des deux.

Même si on a tendance à le prendre de façon personnelle, il faut comprendre que notre autre ne nous blesse pas intentionnellement.

Chez le runner (la personne qui fuit, voir à la rubrique "le runner"), ses blessures l'empêchent de percevoir le lien et de ressentir l'amour que l'autre lui porte. Au départ, il aspire surtout à se protéger au maximum et ne se dévoile pas. Il se coupe de ses émotions afin de ne pas les ressentir, car ne sachant pas les gérer, elles sont trop souffrantes pour lui. Avec son autre, il opère une sorte de "tri sélectif" : il accepte uniquement ce qui lui fait du bien mais rejette tout ce qui pourrait être trop déstabilisant, tout ce qui menacerait son équilibre émotionnel. De ce fait, il n'est pas très épanoui puisque sa vie reste très routinière, sans surprises, sans saveurs. Il reste uniquement dans une petite zone qu'il a exploré à plusieurs reprises et qu'il connait pas coeur,  car ça le rassure. Mais au bout d'un moment, l'herbe finit toujours par être plus verte de l'autre côté de la clôture, et le runner se voit poussé à repousser ses limites, guidé par l'amour.

Chez le chaser (celui qui poursuit, voir à la rubrique "le chaser"), c'est le manque de reconnaissance du runner qui est douloureux, car il ne se sent pas accepté ni reconnu par son autre. Le runner n'accorde aucune existance au chaser : il nie la relation depuis le départ et ne reconnait pas qu'il a pu ressentir de l'amour pour lui. Il ne reconnait pas à l'autre le droit d'exister dans sa vie et ne lui accorde pas de réelle place (ou en tout cas, il ne le laisse pas paraître).

Au début de la relation, les blessures chez l'un et l'autre sont telles qu'elle vont vite prendre toute la place. L'amour idéalisé du départ s'envole bien vite et laisse place à de grandes incompréhensions et de grandes frustrations. On ne reconnait plus l'autre tellement on a l'impression qu'il a changé. Pourtant, cette étape obscure et sombre qui est décidée par l'Univers (aucun des deux n'est fautif) sera nécessaire, car c'est dans l'ombre qu'on trouve la lumière. Littéralement, cela signifie que c'est en voyant les mauvais côté de l'autre ressortir qu'on va apprendre à mieux se connaître et aussi à mieux connaître l'autre.

Qu'on soit chaser ou runner, la première chose à comprendre, c'est qu'il est inutile de blâmer l'autre. Plus facile à dire qu'à faire c'est certain, mais gardez en tête que le blâmer, c'est lui rajouter des problèmes qu'il devra gérer en plus des siens. Quand on blâme l'autre, c'est notre partie blessée qui parle. C'est notre enfant intérieur en souffrance qui tente d'attirer l'attention, de se faire entendre. Or ce n'est pas à l'autre d'écouter votre enfant intérieur blessé, mais à vous.

Enérgétiquement parlant, notre autre agit comme un miroir : il est là pour nous refléter ce qui doit être guéri. Ce n'est pourtant pas à lui de le gérer à notre place. Il ne le fait pas de façon consciente donc inutile de le lui reprocher. Ce sont les âmes qui ont distribué les rôles avant l'incarnation, et ni le runner ni le chaser n'ont à culpabiliser pour ça.

Quand vous aurez compris ça, peu importe ce que l'autre fera ou dira quand il est blessé, cela ne vous impactera plus, puisque vous comprendrez pourquoi cela arrive sans vous sentir attaqué. Vous gagnerez ainsi du temps à ne pas vous disperser dans un combat stérile contre l'autre.

Car bien souvent, quand l'autre est blessé et qu'il vient nous "piquer", on est tentés d'adoper des réactions exeéssives, qui sont aussi des mécanismes de protection ou de défense... mais qui ne permettent pas de résoudre le conflit.

Selon notre polarité de base, on pourra adopter :

- une position yang excessive ("tendance colérique") : on va alors décharger nos émotions et notre colère sur l'autre, en le tenant pour responsable de nous faire mal. On peut aussi essayer de lui faire mal en le rendant jaloux, en le provocant, en l'attaquant, en essayant de se venger, en adoptant un scénario "dramatique et théatral" qui attirera l'attention de l'autre dans l'espoir qu'il ne nous oublie pas. Pourtant, l'autre ne peut pas comprendre cette déferlante de colère, puisque lui-même n'est pas toujours capable de percevoir ses propres blessures. Il se sentira agressé gratuitement et cela majorera ses peurs et son sentiment qu'il ne peut pas nous faire confiance. Notre autre peut aussi réagir aussi à ses propres blessures, en les reportant sur nous. Dans ce cas, il est possible d'accueillir ce qu'il nous renvoi sans le prendre pour soi. Car si chacun reste sur sa position et déverse mutuellement sa colère sur l'autre, on en arrive à une relation toxique et malsaine pour les 2.

- une position yin excessive ("tendance soumise") : on se complait dans la victimisation, la plainte et les reproches envers l'autre. On peut aussi tout garder pour soi et devenir mutique quitte à s'en rendre malade puisque les émotions ne sont jamais libérées. Ces émotions non liberées finissent par En effet, on peut avoir tendance à ne pas vouloir faire souffrir l'autre, donc on n'ose pas lui exprimer ce qui ne va pas. On entend souvent par exemple qu'il ne faut pas contacter notre FJ, et je ne suis pas d'accord avec cela, comme je l'expliquerai plus tard. Il y'a des choses qui doivent necessairement être dites (puisque sans communication il n'y a pas de couple) mais il faut le dire en mode "non violent" plutôt que d'aller charger l'autre de reproches. Il me semble important que les nons dits et les regrets soient exprimés à un moment où à un autre, mais de façon calme et posée. Par empathie, on peut aussi être tenté de se culpabiliser et de se sentir responsable de la totalité de l'echec de la relation. Or, il me semble que chacun a sa part de responsabilité dans le conflit. Quand une relation échoue, ce n'est pas la faute de l'un ou de l'autre, c'est la faute des 2 : chacun est responsable en partie. Il est donc nécessaire que chacun assume sa propre part des responsabilités. Excuser le comportement de l'autre par soumission alors que ce comportement demande réparation va empêcher chacun des partenaire de faire leur travail. Si l'un endosse toutes les responsabilité, alors l'autre pense que tout va bien de son côté, et il n'avancera pas.

Il est donc important de sortir de ces 2 modes excessifs yin / yang, pour arriver à un juste milieu plus équilibré. Il faut stopper ce cercle vicieux (le fameux triangle de Karpmann), sans quoi il ne s'arrêtera pas.

2) Les échappatoires : 

Parfois, avant de sortir de ces attitudes excessives et de retrouver notre route,  on va faire plusieurs détours. Quand on se sent blessé on pourra être tenté de mettre en place différentes stratégies d'évitement pour échapper à notre souffrance. Il est donc important de repérer ces stratégies érronées et d'en sortir au plus vite, car elles nous empêchent de faire le réel travail sur nous-même, et nous éloignent du but réel qui est de nous réunir avec notre autre : 

- le déni de soi : c'est certainement la première échappatoire que l'on met en place. On ne voit pas du tout ce qui est à travailler (ou on ne veut pas le voir.) Alors on fait comme si tout va bien, même quand ça ne va pas. Parfois, on peut aussi parfaitement voir ce qui est à travailler chez l'autre, mais ne pas le voir chez soi (consciemment ou pas).

- le divertissement : on va chercher à fuir la souffrance par une distraction excessive (sorties, loisirs, jeux vidéos ...) ce qui nous éloignera du réel objectif.

- renier totalement l'autre (surtout chez le runner) : comme les blessures sont à vif et qu'elle font mal, on va être tenté de fuir cette souffrance en reniant totalement la relation et notre FJ. On va faire comme si l'autre n'existait plus, comme si l'autre n'avait pas d'importance. Comme on ne ressens plus l'amour qu'on avait au début quand l'autre nous comblait, on a l'impression que l'autre ne nous apporte que de la souffrance,  alors on va trouver plus confortable de tout arrêter ... plutôt que de se donner les moyens d'aller guérir nos blessures pour sauver la relation. Ainsi, on va rejeter l'autre en faisant tout pour se convaincre qu'il n'a jamais existé. Si on se retrouve en présence de notre autre, on va l'ignorer et faire comme si l'autre n'existait plus. Face à notre entourage, on criera haut et fort que l'on n'a jamais aimé notre autre, qu'il ne représente rien pour nous, qu'il n'a jamais compté et qu'il n'y a jamais rien eu entre nous ... un peu pour se conforter dans notre décision. Notre FJ reçoit le message qu'elle n'est pas digne d'amour et qu'elle ne compte absolument pas, ce qui lui fera perdre confiance nous. Mais on aura beau se mentir à soi-même, le manque de l'autre reviendra tôt ou tard tel un boomerang pour nous frapper en plein visage, puisqu'une fois qu'on a goûté à cet amour, tout le reste semble fade, triste et sans aucun intêret. Rien ne nous comble et ne nous rempli autant que la présence de notre autre, donc malgré tout ce qu'on fera pour se persuader que l'autre n'est pas la personne qu'il nous faut, ce manque sera toujours présent.

- compenser le manque de l'autre par une relation "pansement" (surtout chez le chaser) :

Dans cette autre échappatoire, on sera tenté de fuir vers une autre relation pour se couper des souffrances que nous fait ressentir notre autre. On va être tenté d'aller chercher chez un autre partenaire ce que notre FJ ne nous apporte pas (tendresse, amour, bienveillance ...). Cela comblera nos blessures durant un moment, mais le manque de notre FJ ressurgira très rapidement, pour nous faire comprendre que notre place n'est pas là. C'est un peu comme si l'on mettait un pansement sur une blessure qui saigne toujours : on ne voit plus la blessure qui est masquée par le pansement, mais la blessure n'est pas cicatrisée et continue de saigner. On pense ainsi avoir fait le travail, alors qu'en réalité on a seulement fuit ce qui nous fait mal, sans vraiment l'avoir affronté ni réglé. De plus, l'autre reçoit comme message : "tu n'es pas digne de moi alors je préfère aller voir ailleurs", ce qui majore son manque de confiance en lui. De ce fait, on peut comprendre qu'il n'ai pas envie de faire des efforts dans la relation, puisqu'il sait d'avance qu'il vous a perdu et qu'il n'a aucune raison de se battre pour donner une chance à la relation. Bien souvent, si vous fuyez dans une relation pansement, l'Univers se chargera de vous montrer que vous n'êtes pas à la bonne place. Vous rencontrerez donc des personnes qui raviveront les blessures qui ont déjà eu lieu avec votre FJ, ou des personnes qui pourront aussi venir guérir certaines choses chez vous. Car l'Univers sait parfaitement où est votre place, et il se chargera de vous le rappeler aussi souvent que nécessaire.

- la stagnation / la rumination / l'apathie / la procrastination (chez le chaser ou le runner) : 

Dans cette autre échappatoire, on ne fait plus rien comme ça on est sûr de ne pas faire d'erreur ... mais du coup on n'avance plus. Faire une erreur ce n'est pas grave à condition d'en tirer les leçons (on apprends parfois de belles leçons de nos erreurs). Par contre, une fois qu'on a fait l'erreur, autant éviter de la reproduire sinon on tourne en rond dans nos problèmes sans vraiment trouver une solution. Parfois on ne crois pas assez en soi alors on ne se donne pas les moyens d'aller mieux ni de guérir nos blessures. On préfère rester en position "statique" plutôt que de prendre le risque d'être perturbé par un travail sur nos blessures. On pense avoir réussi à se reconstruire un équilibre (qui est en réalité une prison) après avoir beaucoup souffert dans l'enfance, alors on n'a pas envie de tout redéconstruire et de perdre ses repères et ses fondations.

3) Trouver sa juste place : 

 Si l'on veut parvenir à l'équilibre yin / yang dans la relation, il me semble important d'adopter une position juste, même si c'est loin d'être aussi simple en pratique.

Si l'on reprend le symbole du Tao, le juste équilibre yin / yang est composé à 50 % de noir et à 50 % de blanc.

Il est donc nécessaire que chacun soit en mesure d'être équilibré, sans basculer vers un extrème ou l'autre. Chacun doit assumer son rôle sans le fuir, et sans faire porter ses blessures à l'autre, chacun doit faire sa part du travail demandé pour que le couple puisse fonctionner. Le couple, c'est comme un travail d'équipe : ce n'est pas à l'un de travailler pour deux.

4) Se positionner clairement : 

Se positionner dans une relation, c'est occuper sa juste place, sans être tenté d'y échapper dès que les choses deviennent difficiles. C'est surmonter les obstacles de la vie et de la relation sans chercher à y échapper. Imaginez la relation comme un surfeur. Parfois ça glisse tout seul et c'est agréable. Parfois, la mer se déchaine et les vagues déferlent. Pourtant, le surfeur les affronte. Il ne fait pas demi tour. Il ne s'échappe pas pour surfer sur un lac afin d'échapper aux vagues : il apprend à gérer les vagues.

Quand on est à sa juste place, on n'est plus dans les extrèmes. On est ni trop soumis, ni trop présent : on est équilibré.

Quand on parvient à ce stade, on n'est plus construit sur des vides et des manques. On a réussi à guérir nos blessures et les colères sont apaisées. On peut ainsi arriver à l'étape suivante, qui est de rayonner.

5) Rayonner son amour pour l'autre  : 

Une fois que le travail est fait, on est si équilibré qu'on n'a plus le besoin vital d'être comblé par l'autre. J'entends par là qu'on est en capacité de s'apporter suffisament d'amour à soi-même pour ne pas aller quémander de l'affection constamment à l'autre.

Au départ, on est surtout en mode "passoire". L'autre nous apporte beaucoup d'affection et d'attention, mais on a tellement de blessures et de trous que cet amour s'échappe de nous, comme une passoire qu'on tenterait de remplir avec de l'eau.

Avec le travail sur soi, on apprend à colmater les brèches et on est capable de s'aimer suffisament pour ne plus avoir besoin de demander de l'amour aux autre pour se sentir bien. C'est à cela que sert la séparation : à nous réparer. Car au départ, il faut bien l'admettre, on demandait à l'autre de nous remplir de son amour, faute de nous aimer suffisament nous-même et d'être suffisament autonome dans nos réactions affectives.

Une fois réparé, une fois qu'on n'est plus obligé de mendier de l'amour pour exister, vient le moment où cet amour est dirigé vers l'autre : comme on sait de remplir soi-même, ,notre réservoir d'amour est plein alors on va en faire profiter les autres, on va nourrir l'autre ... mais pas au détrimer de soi (alors qu'au départ, on donnait tout à l'autre de façon sacrificielle sans tenir compte de nos besoins).

Dans une relation sacrée, on va offrir à l'autre notre amour de façon inconditionnelle, même si l'autre n'est pas prêt à donner à ce moment là.

Dans une relation sacrée, on va offrir à l'autre le temps et l'espace dont il a besoin pour évoluer et Grandir, sans chercher à le faire grandir plus vite qu'il ne le peut. 

Imaginez un jardinier qui plante des graines avec l'espoir qu'elles fleurissent. Il ne peut que leur apporter de l'eau et du soleil, puis laisser le temps faire son oeuvre. Il ne peut pas tirer sur les tiges pour les faire pousser plus vite, or c'est ce que le chaser à tendance à faire. Il faut savoir respecter le rythme de chacun (surtout pour le chaser qui a tendance à vouloir tout très vite et qui est vite frustré de ne pas recevoir quand il donne). Il y'a donc un gros travail à faire sur la confiance.

On doit avoir suffisament confiance en l'autre pour lui laisser du temps, sans se mettre à penser qu'il va forcément nous décevoir ou nous trahir. Dans cette hypothèse, c'est encore nos blessures du passé qui nous manipulent.

Je pense que c'est la polarité féminine du duo qui atteindra cet état en premier. Il ne faudra pas attendre que votre autre vous donne de l'amour pour lui en donner. Comme nous l'avons vu dans l'article sur le yin et le yang, c'est la féminine qui initie. Il est donc normal que la féminine ait une longueur d'avance et que le masculin suive. N'ayez pas peur d'aller de l'avant, votre autre vous rattrapera :)  Offrez cet amour inconditionnellement à votre autre, sans vous mettre en tête que vous en recevrez jamais en retour.

J'entends par là que c'est à la féminine d'accueillir son autre malgré les différences, sans jugement, sans lui faire porter ses propres angoisses et ses frustrations. Accueillir l'autre comme il est, l'accepter entièrement avec ses peurs et les respecter. Respecter que votre autre n'est pas forcément au même stade que vous, que certaines choses ne lui sont pas encore possible.

Se positionner de façon juste, c'est dire à l'autre avec toute sa bienveillance : "je ressens beaucoup d'amour pour toi, j'ai envie de donner une chance à notre histoire alors je n'ai pas l'intention de partir ni d'aller voir ailleurs, j'attendrai que tu sois prêt, je te laisse l'espace et le temps nécessaire à ta croissance, et si tu as besoin de moi je serai là". 

Ainsi, notre FJ parfois fragilisée par ses propres blessures se sent entendu, respecté et compris dans ses choix. Il sent qu'on ne le forcera pas à aller plus vite que son rythme. Il se sentira en sécurité et en confiance, et c'est ce que la féminine doit chercher à offrir en priorité à son autre. C'est le rôle du féminin sacré.

En élevant ses vibrations, c'est ainsi que la féminine attirera le masculin. En réalité, il n'y a pas grand chose à faire dans la matière puisque la féminine est le pole énergétique yin (passif), tandis que le masculin est le pole matériel yang (actif).

La féminine doit créer un cocon de sécurité et d'amour dans lequel son masculin se sentira suffisament aimé et respecté pour la rejoindre.

Par la suite, une fois en confiance le masculin pourra s'ouvrir et lui offrir l'amour qu'il ressent pour elle.

Pour aller plus loin dans cette compréhension, je vous partage ces textes inspirants : 

- https://www.espritsciencemetaphysiques.com/mariage-alchimique-divins-et-humains.html

- http://adnetvip.over-blog.com/2017/05/les-4-piliers-du-couple-alchimique.html

- https://la-voie-du-couple.com/samourai-et-pretresse-le-couple-alchimique/

- https://la-voie-du-couple.com/lamour-inconditionnel-est-il-humain/

- https://la-voie-du-couple.com/comment-ne-pas-prendre-en-charge-lautre/

- https://elishean777.com/de-la-relation-de-couple-aux-noces-alchimiques/

P.M